Les Filles du Web

Le bon plan shopping du mois !

On en a toutes rêvé en regardant Blair et Serena dans Gossip Girl: le centre commercial Beaugrenelle propose ce mois-ci de nous raccompagner gratuitement chez nous en Opel Adam une fois notre shopping terminé!

Non, ce n’est pas une blague. Souvenez-vous la fois où vous vous êtes retrouvée écrabouillée dans le métro avec vos sacs plein les bras! Ce moment où vous vous êtes dit: « si seulement j’avais un chauffeur pour me ramener chez moi! » Vous vous souvenez bien de ce moment n’est-ce pas? Pour les fêtes de fin d’année, jusqu’au 22 décembre précisément, votre désir va être exaucé!

Terminé le stress des courses de Noël! Finie la fatigue du retour chez soi, complètement à plat après avoir dévalisé les magasins. Grâce à Beaugrenelle et Opel, le plus grand rêve de toute fashionista qui se respecte (après celui de posséder une paire de Louboutin) va enfin devenir réalité! Ok, bon, là, ce n’est pas une limousine mais une Opel Adam qui va avoir le privilège suprême de vous transporter, mais quand même! C’est toujours mieux que la ligne Balard-Créteil en pleine heure de pointe non? Et gratuitement en plus!

Pour réserver un véhicule (avec le beau chauffeur qui va avec), ça se passe sur place, à l’espace détente Opel Adam.

Enjeux de société à la Gaîté Lyrique

Créée en 1933 par l’Etat et l’association des « Gueules Cassées » pour venir en aide aux blessés de la guerre de 14-18 et aux calamités agricoles, nous fêtons cette année les 80 ans de la Loterie Nationale pour FDJ . A cette occasion, et parce que le jeu fascine et questionne, cette dernière a souhaité ouvrir le débat auprès d’un large public et faire discuter de l’utilité sociale du jeu au travers de la première édition de (En)jeux de Société, un rendez-vous qui décrypte la place du jeu dans nos vies.

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Evènement gratuit et ouvert à tous qui aura lieu le 11 décembre 2013, de 9h30 à 13h, animé par Denis Grogniart, http://www.enjeuxdesociete.fr sera l’occasion d’échanger et de débattre entre experts, mais aussi avec le grand public, sur ce qui fonde l’importance et l’impact du jeu dans la société, et en particulier sur le rôle déterminant de la chance, du hasard et du risque dans nos vies. Il sera suivi d’une exposition sur le jeu, accessible à tous à la Gaîté Lyrique jusqu’au dimanche 15 décembre.

Trois tables rondes thématiques rythmeront les débats :

Table ronde n°1 : Faut-il croire à sa chance ?

Saisir sa chance, croire à sa chance…La chance comme le bonheur serait-elle un don du ciel ou plutôt une aptitude à la recevoir ? Le fait de croire à sa chance serait-il déjà un premier pas vers sa conquête ? Les « coaches » désormais incontournables en appellent à la “pensée positive” pour réussir dans nos vies professionnelles ou personnelles. Ne pas croire à sa chance, c’est baisser les bras et partir perdant, dit-on. Cette première table ronde où interviendront Isabelle Autissier, navigatrice, écrivain, femme de radio, présidente de WWF, Dominique Desjeux, sociologue, anthropologue et Dominique Bromberger, journaliste et écrivain, décryptera le rôle de la chance dans nos vies

Table ronde n°2 : Quel rôle joue le hasard dans notre vie ?

Le hasard (de azzard en arabe = jeu de dés) existe-t-il ? On ne cesse de l’évoquer dès que des rencontres improbables, des coïncidences troublantes se produisent. Et certains l’invoquent lorsque l’on s’interroge sur l’origine de la vie. Les plus grands esprits, tel Jacques Monod (Le hasard et la nécessité) l’ont étudié. Le hasard est aussi, par le biais du tirage au sort, celui auquel on fait appel, de l’Antiquité à nos jours, dans de nombreuses et importantes circonstances : tirage de sujets d’examen, des membres d’un jury aux assises, de l’attribution de la carte verte aux USA, etc. Le hasard serait-il donc équitable ?

Etienne Ghys, mathématicien, membre de l’académie de sciences, directeur de recherche au CNRS, Elisabeth Belmas, historienne du jeu, Marion Bartoli, ancienne joueuse professionnelle de tennis composeront cette seconde table. Ils pourront également s’appuyer sur le témoignage d’un Grand Gagnant de la Française des Jeux,présent à leurs côtés.

Table ronde n°3 : Qui ne risque rien n’a rien ?

Dans le jeu comme dans certains loisirs ou certaines activités, le risque semble générer du plaisir. De l’alpiniste ou de l’adepte de la chute libre au fervent des manèges à sensation pour adultes sans oublier le joueur, pourquoi cette quête d’adrénaline ? Accepter de prendre des risques, n’est-ce pas une qualité, un atout ? La société serait-elle devenue trop sécurisée ? Sans prendre de risque, le progrès, notamment scientifique, est-il possible ? Mais jusqu’où peut-on accepter la prise de risque et où commence la mise en danger ?

Vincent Cespedes, philosophe, Estelle Denis, joueuse de poker, Jacques Lafitte, ancien pilote automobile français soutenus par Jean-Pierre Couteron, psychologue clinicien et président de la Fédération Addiction se serviront de leurs connaissances et de leur vécu, pour tenter de répondre à ces interrogations.

Que vous soyez une joueuse régulière ou juste une gratteuse occasionnelle, on peut parier que cet évènement saura vous rappeler vos cours de philo!

 

Article sponsorisé

Oh My Cream prend ses clientes pour des truffes

Oh My Cream et son Vanity, vous connaissez ? Non ? Tant mieux, vous ne ratez rien, rassurez-vous, à part une belle arnaque de plus parmi toutes celles qui pullulent en cette période de crise! Je vous en dis plus ci-dessous…

Fans de produits de beauté, si vous me lisez, je peux vous dire que je l’ai mauvaise ! Argh ! Il y a quelque temps, j’ai cédé une fois de plus à l’appel de la crémasse et me suis rendue sur le site Oh My Cream, (nan, ils auront pas de lien) nouveau lieu de shopping beauté en ligne orienté branchouille/intello/rive gauche. Dans mon viseur, le Vanity Oh My Cream.

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Le concept du Vanity Oh My Cream, comme indiqué sur leur site, c’est de recevoir une pochette avec un minimum de 5 produits Full-Size pour 80 euros. Produits qui sont bien entendu inconnus au moment de l’achat, la surprise étant de mise!

Attirée par l’offre, je décide de sauter le pas et de dégainer ma carte bleue. Pensez donc: 5 Full-Size pour 80 euros, c’est super intéressant! (Les marques vendues sur Oh My Cream étant des marques haut de gamme hein, ici, point de Nivéa).

Premier bémol cependant, et pas des moindres, au moment de l’achat, on m’annonce que je vais devoir payer non pas 80 euros mais 90 euros. Hum..

Soit.

Je réfléchis 2 minutes, me dis que ça fait quand même 10 euros de plus, que ce n’est pas le prix annoncé sur le site mais bon, comme je suis faible, au final, j’achète.

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J’ai dans l’idée que je vais donc recevoir 5 produits Full-Size minimum pour 90 euros.

Or, quelques jours après ma commande, que déballe-je sur mon petit lit ?

5 produits Full-Size ?

QUE NENNI !

Ce que je reçois n’est tout simplement pas ce qui a été annoncé par Oh My Cream. Ce que je reçois, c’est l’ensemble des produits que vous avez en photo plus haut, c’est-à-dire :

– 1 Hair Repair Sachajuan en 100 ml (le produit Full-Size étant de 250 ml)

– 1 Crème de Nuit Revitalisante Encens Ren en 50 ml (produit Full-Size)

– 1 Liquid Gold Alpha-H en 50 ml (le produit Full-Size étant de 100 ml)

– 1 vernis à ongles Kure Bazaar en 10 ml (produit Full-Size)

– 1 Crème Egyptian Magic en 118 ml (produit Full-Size)

– 1 Daily Microfoliant Dermalogica de 13 g (le produit Full-Size étant de 75 g)

– 1 Lait Onctueux Capital Joëlle Ciocco en 50 ml (le produit Full-Size étant de 100 ml)

Ce qui nous fait donc Maryse un total de … 3 PRODUITS FULL-SIZE !

WHAT THE FUCK ???!!!!!

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Pas contente du tout, mais DU TOUT, je me jette aussitôt sur la page Facebook de Oh My Cream qui a le culot de me répondre dans un texte aussi long que la largeur de ma main que SI, il y a bien 5 PRODUITS FULL-SIZE, et que leur « engagement a été respecté ».

EST-CE QUE MADAME JULIETTE LEVY, GERANTE DE OH MY CREAM, NOUS PRENDRAIT POUR DES CONNES ???

Alors, que les choses soient claires : ton « engagement », chérie, ça s’appelle une arnaque. De la pure malhonnêteté que je me tue à dénoncer ici à chaque fois qu’il m’arrive un truc similaire. Rien que le coup d’annoncer 80 euros et de devoir payer 90 euros au moment du paiement, c’est illégal. Ça s’appelle même de la publicité mensongère.

Avoir le culot de dire qu’un produit full-size pour le visage, quel qu’il soit, c’est 50 ml minimum, ça aussi, c’est illégal. Par définition, un full-size, c’est le produit vendu dans le commerce, dans la même contenance. Et en aucun cas le Lait Démaquillant Joëlle Ciocco ou le Liquid Gold Alpha-H présents dans le vanity n’en sont. Ce sont des produits en taille voyage.

En ayant plus que marre de me faire voler par des sociétés qui n’hésitent pas à le faire sur internet, à la vue de tout le monde, je fais donc part de cette arnaque à la DGCCRF et conseille à toutes de ne JAMAIS, mais JAMAIS acheter sur Oh My Cream, site que je blackliste et chez qui je ne serai plus JAMAIS cliente.

Se faire avoir comme ça, en plus quand il s’agit de produits de beauté (des choses censées nous remonter le moral quoi!), ça fout juste la gerbe en cette fin d’année.

Je m’en vais jouer aux échecs avec mes taille voyage et vous salue bien.

Vévé

 

8 conseils pour trouver l’amour

Marre d’être seule ? Nous avons demandé à Céline de Donno, psychologue coach pour Parship qui est un moyen moderne pour faire des rencontres sérieuses, de dispenser quelques conseils pratiques aux célibataires qui souhaiteraient rencontrer l’âme sœur avant l’été prochain. Pas évident de tout suivre, mais le jeu en vaut la chandelle non ?

Conseil n°1 : une saine auto-évaluation. Le pessimisme et la perte de confiance en soi sont des symptômes normaux pour qui est célibataire depuis longtemps. Ils sont toutefois loin d’être des atouts lorsque l’on se lance dans la recherche d’un partenaire. Posez-vous les bonnes questions : qui suis-je ? Quelles sont mes forces et mes faiblesses ? Pour ainsi donner une image réaliste et cohérente de soi.

Conseil n°2 : attention aux cicatrices du passé. Lorsque vous entreprenez un nettoyage de printemps, les coins poussiéreux, même petits et cachés, ne doivent pas être oubliés : êtes-vous prêt(e) pour un nouvel amour ? Avez-vous vraiment laissé les douleurs et les cicatrices des relations passées derrière vous ?

Conseil n°3 : revoyez vos attentes concernant le ou la futur(e) partenaire. L’homme ou la femme idéal(e) n’existe précisément que dans vos rêves ! C’est seulement si la personne est faite de chair, de sang et d’émotions, quelqu’un d’ancré dans réalité, que vous serez en mesure de réellement satisfaire vos souhaits et vos attentes.

Conseil n°4 : no stress ! Quand une nouvelle année arrive, certaines personnes pensent être dans l’obligation de changer leur vie du tout au tout. Cette frénésie peut passer par une diète forcée, une pratique trop intensive du fitness, ou encore dans un marathon du flirt. Attention, trouver l’amour prend du temps…

parship

Conseil n°5 : peaufinez vos techniques de flirt et évitez le striptease émotionnel ! L’art du flirt réside dans l’équilibre fragile du « trop en dire ou pas assez ». Dévoilez-vous suffisamment pour intéresser, éveillez la curiosité, mais également encouragez-le à parler de lui. Céline de Donno précise : « La règle d’or est de ne pas parler trop tôt de ses relations passées. Cela s’avérera aussi inapproprié que décourageant. Pas de mise à nu émotionnelle trop précoce, prenez le temps de vous découvrir et de vous raconter l’un et l’autre. »

Conseil n°6 : attendre le grand amour, seul(e) dans votre coin : c’est fini. Beaucoup d’opportunités s’offrent à vous : aller en soirée, dans des bars ou chez des amis, tenter les speed-datings…

Conseil n°7 : faire des rencontres en ligne. Internet est l’endroit le plus populaire pour faire des rencontres en hiver. Mais dès l’été, les célibataires restent plus volontiers dehors. Remotivés par la vue de tous ces couples, les célibataires motivés se connectent à leur profil plutôt en soirée, après un apéro prolongé entre amis ou un barbecue en famille.

Conseil n°8 : le coup de foudre est l’exception, pas la règle ! N’hésitez pas à échanger intensément, par mail ou téléphone, et à organiser rapidement plusieurs rendez-vous. Vous éviterez ainsi d’idéaliser la personne et apprendrez à la connaître telle qu’elle est.

Zulu: Orlando Bloom et Forest Whitaker enquêtent…

Dans les salles depuis ce matin, Zulu est un film de Jérôme Salle, réalisateur français, mais c’est en anglais qu’il a été tourné. Inspiré du roman éponyme de Caryl Férey, celui-ci se range dans la catégorie des polars.

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L’histoire se passe en Afrique du Sud autour d’une enquête policière. On retrouve dans les rôles principaux le célèbre Forest Whitaker en inspecteur (Ali Neuman) et le sexy Orlando Bloom, son acolyte policier (Brian Epkeen). Ces deux acteurs sont les seuls à être Américains car le reste du casting est Sud-Africain.

Le synopsis? La fille d’un célèbre entraîneur de football est retrouvée morte dans un jardin botanique et la police doit enquêter sur les circonstances de sa mort. Ce qui en apparence semble être un simple meurtre conduit les deux policiers et leur troisième acolyte (Dan Fletcher) sur la piste du dealer de drogue le plus dangereux de la région, « The Cat ». L’enquête prend alors une toute autre tournure, mais je ne vous révèle pas l’intrigue car j’espère que vous irez voir le film!

En dehors de l’enquête en elle-même, on peut aussi voir nos trois héros dans leur vie privée, chacun ayant ses problème personnels. Brian, divorcé, avec un fils de 17 ans qui ne lui parle plus et qui enchaîne les conquêtes d’un soir ; Ali, dont la mère vit dans les Townships ; et Dan, avec ses deux enfants, et une femme qui a le cancer.

D’après le réalisateur, ce film est 2en1 : en partant d’une enquête policière, il dépeint la vie en Afrique du Sud, entre quartiers blancs, colored (métis) où règnent violences et drogues, et Townships, quartiers noirs, les plus pauvres, mais où subsiste un tissu social ; le tout sur le fil conducteur du pardon que l’on retrouve tout au long du film.

Douze ans après la fin de l’Apartheid, il reste beaucoup de problème en Afrique du Sud. Zulu est donc un film d’action avec une touche socioculturelle, qui révèle les problèmes subsistants en Afrique du Sud mais également un long métrage teinté de réflexion car nous suivons l’enquête en même temps que la police.