Un son électro-pop saturé de synthétiseurs, une voix tellement modifiée par les ordinateurs qu’on ne la reconnaît pas, une production (Pharrell Williams) qui utilise la même recette depuis des lustres: le nouveau single de Shakira, « She Wolf« , est affligeant de banalité.
Conçue, dixit l’artiste, »pour que les gens puissent faire la fête, s’éclater dans les clubs et oublier la crise », cette chanson est un pur produit US, annihilant totalement ce qui faisait l’originalité de la musique de Shakira: l’authenticité.
De la soupe qui ne nous donne pas envie d’acheter l’album qui sortira en octobre prochain…