Samedi, à la fashion week, tout le monde biglait sur la blonde-rousse actrice en alternance, fêtarde à temps plein : Lindsay Lohan. Comme elle n’a pas tourné dans un film, je veux dire un qu’on peut dénicher ailleurs que sur une pile de DVD invendus chez Disc King, depuis aussi longtemps que Sean Penn et Robin Wright sont mariés (et divorcent !), elle a bondi sur ses Louboutins quand la maison Ungaro lui a proposé une casquette de consultante artistique.
À part consulter un psy, qui pourrait lui expliquer que harceler son ex Samantha Ronson en sonnant à 4h du matin est particulièrement déplacé, LiLo a donc une autre activité. Ça va lui changer des canapés du Baron (d’où, pour info, elle s’est faite recaler à la soirée Balenciaga cette semaine !). Quoique … Pour sa première collection co-signée avec Estrella Archs, styliste de la maison, LiLo n’a pas pu s’empêcher de P.Diddyser ses modèles, qui pourront être offerts à l’entrée du VIP, ou même être utilisés si la boule à facette tombe en panne. Robes moulantes, paillettes, couleurs hold-up oculaire, épaule dénudée, Lindsay Lohan s’est vaguement prise pour Christophe Decarnin qui, lui, a ressuscité Balmain. Sauf pour les clopes que LiLo attaque sévèrement, je ne sais pas si, elle, a l’étoffe de faire renaître de ses cendres la maison Ungaro qui s’essouffle depuis plusieurs saisons et qui prie pour que Lilo soit le Mess-ie.
Mais ça marche, tout le monde en parle …