Si vous êtes déjà passée récemment dans la rue Croix des Petits Champs à Paris, vous avez sans doute remarqué une petite boutique bien sympathique: la Librairie de la Mode. Mode Information, LE spécialiste de la mode et du design, vient d’ouvrir ce flagship hype au numéro 52.
On y trouve aussi bien nos magazines et revues de mode préférées, que des périodiques plus spécialisés, des livres d’art et des cahiers de tendance. Le ton est donné: la librairie s’adresse autant aux amateurs et aux passionnés qu’aux professionnels, qui travaillent d’ailleurs étroitement avec la société Mode Information et ses bureaux de style. La boutique est donc une mine d’informations et d’inspiration pour les stylistes du monde entier, mais aussi pour nous, simples mortelles qui bavons devant une paire de stilettos sur papier glacé!
Les conditions sont idéales à la lecture: située dans une jolie rue tranquille du 1er arrondissement, la librairie est un lieu calme et raffiné, servi par une équipe experte et accueillante. Bien concentrée, on a donc tout le loisir d’apprendre la mode, de découvrir les futures tendances, et d’admirer les photos des défilés, bien installée sur des coussins vert pomme.
La Librairie de la mode est aussi le revendeur de la marque Pantone, la référence absolue en matière de couleurs. Tous les créateurs choisissent les leurs parmis les 2100 couleurs Pantone. Cette année, la marque ajoute 175 nouvelles couleurs à sa gamme mythique, qui vont sans doute ravir les créateurs de mode et design. On attend les prochaines saisons avec impatience pour découvrir les nouveaux tons Fashion+Home, et aussi les 21 nouvelles couleurs fluo que Pantone lance aussi en parallèle. Et ça tombe bien, parce qu’en ces temps de crise, un peu de gaieté ne nous ferait pas de mal: la preuve, on color blocke à fond cet été!
En attendant la prochaine Fashion Week pour découvrir tout ça, en avant toutes! Direction la Librairie de la Mode, pour un moment de détente et de dégustation de tendances. Et si les books sont très chers (139 € quand même), libre à nous de nous rabattre sur un bon vieux Grazia. Qui a dit que les librairies, c’était rasoir?